Fiction Litterature

Je hais la st valentin

Disclamer : Tout à Stephenie Meyer

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Résumé : Concours de Bloody Valentine Contest. Bella s'entaille les veines dans son appartement et s'amuse sur la rambarde avec une bouteille d'alcool dans les mains. Son voisin du dessous voit du sang ; inquiet décide de monter la voir.

Bloody Valentine One Shot Contest

Cas : Je Hais la st valentin… Enfin plus maintenant !

Avocat de la défense : Hp-Drago

Suspect : Bella / (surprise)

Responsabilité : Disclamer : Tout à Stéphanie Meyer

BETA : Zazalo

PDV BELLA

Pourquoi ? Pourquoi nous sommes le quatorze février ?

Je HAIS ce jour. Puis pourquoi je me fais cuire des aubergines ? J'aime pas ça ! Génial, j'ai réussi à survivre toute cette journée en restant chez moi, enfermée dans mon appartement, pour éviter de voir les gens te dégueuler leur amour au visage alors que MOI je suis seule. Pourquoi je suis seule ? Pourquoi ce connard m'a plaquée il y a maintenant deux ans jour pour jour ?

Trop superficielle qu'il disait.

Tssss. Tout cela sous prétexte que je ne veux pas qu'on touche à MES chaussettes. Tsss. Pauvre con. De toute façon tu ne m'as absolument pas marquée !

D'ailleurs je vais TRES bien. Je me dirige vers mon balcon et me mets à hurler. « JE TE DETESTE ! ». Ah ça va mieux. Ça doit être vrai ce qu'on dit. Le fric nous rend fou. J'y peux rien si je suis une héritière de vingt-trois ans qui est désespérément seule dans son grand appartement. Je jette mon dîner et prends mon pot de Nutella avec une cuillère et pars me vautrer sur mon canapé devant mon écran plat. Bien-sûr il n'y a que des films d'amour. Eurk.

Je vomis l'amour. Mais qu'est-ce que j'étais bien dans ses bras. Ses baisers me donnaient l'impression d'être importante, des papillons volaient dans mon ventre quand il me regardait.

Merde !

Je me ramollis. Je m'étais promis de ne plus être comme avant. Je me gifle véritablement. Je deviens schizophrène, complètement folle et tout cela à cause d'un CON qui n'en vaut pas la peine… Je me force à faire ressortir toute ma colère contre lui, cela m'évitera de fondre en larmes comme à chaque fois. Je prends l'amphore - absolument affreux - que ma mère m'a offert pour mes seize ans. Franchement qui irait offrir un vase de plus de deux cents ans à sa fille ?

Bref, je prends ledit vase et le jette par la fenêtre. Attention en bas ! Je me rends compte que ça me défoule alors je continue avec le chandelier - encore un cadeau naze de la famille - il passe lui aussi par la fenêtre.

PDV …

Je suis tranquillement en train de dîner, seul. Je vois un OVNI passer devant ma baie vitrée. Puis un autre. Une dizaine passe comme ça. Elle ne va pas bien la voisine. Bref, une fois mon dîner fini, je prends un bon livre et pars m'allonger dans un transat sur mon balcon.
PDV BELLA
Une fois ma colère passée, je décide de boire un coup. J'ouvre mon immense bar et prends une bouteille d'alcool. Une fois ma bouteille bien entamée je me mets pleurer. Pleurer parce que je trouve que ma vie est nulle. Je suis peut-être jeune et riche mais je ne supporte plus la solitude. Je ne supporte plus ma famille, si on a pu la considérer comme telle. Mes amies ? Tsss, toutes plus cruches les unes que les autres. Et pour enfoncer le bouchon de ma superbe vie, mon petit-ami qui me plaque ce jour maudit. Plus jamais je ne fêterai la St valentin.
Parfois je me demande pourquoi je reste encore en vie. Je suis persuadée que je ne manquerai à personne. Ma mère ne pleurerait pas, trop occupée à ne pas faire couler son maquillage et mon père dirait que ce sont les aléas de la vie. Mon petit-frère ? Sûrement trop défoncé pour se rendre compte qu'il ne me verra plus. Déjà qu'on ne se voyait pas beaucoup. Mais au moins quand j'étais avec lui, mon ex-petit ami, je pouvais tout oublier.

« JE TE DETESTE ! » hurlai-je à nouveau avant de me remettre à pleurer.
PDV...
J'entends la voisine hurler et quelques secondes plus tard, j'entends se pleurs. Lunatique la petite. Je l'ai déjà croisée, assez mignonne même dans le genre poupée égocentrique. Par contre ses fesses damneraient un saint. Pas tout à fait mon style. Je préfère ce qu'il y a dans leur tête. Mais au moins ce n'est pas une voisine trop chiante.

PDV BELLA

Je regarde la vue de mon balcon, tout en ingurgitant le liquide de ma bouteille. Je regarde le vide. Il serait si simple de sauter. Si simple d'arrêter de vivre.
Je rentre à l'intérieur pour éviter de faire une bêtise. Puis ma bouteille est quasi vide. Je pose le cadavre sur une table, mais légèrement éméchée je fais tomber l'alcool sur mes lettres. Un objet brillant attire mon attention. Mon coupe-papier, il évite que je me coupe… Mon esprit pas tout à fait normal oblige mes doigts à se serrer sur l'objet. Bien sûr il se ferme sur la lame, je m'égratigne mais continue vers le bar.
Une fois tous mes trésors en main, je retourne sur mon balcon. Je regarde ma main et vois un peu de sang. Cela me fascine. Je le regarde couler doucement, il finit par s'arrêter. Je grogne. Une idée stupide me vient mais aussi une envie. Un besoin. Peut-être que quelqu'un me trouvera, et s'inquiétera pour moi mais il sera trop tard. Sauter du balcon. Plus radical mais je ne veux pas savoir comment je vais finir. Est-ce un appel au secours de se tailler le corps. Est-ce un besoin d'attention ? Ou tout simplement un acte stupide ? Morbide ? Ou une envie d'en finir avec la vie .
Je ne sais pas trop, mon esprit est trop embrumé pour réfléchir correctement, la seule chose que je sais et que je veux c'est de revoir ce liquide rouge couler de mon corps.
Je prends le coupe-papier et le fais glisser le long de mon bras. Une douleur se fait ressentir mais je ne peux m'arrêter. Je ne me suis pas entaillée profondément mais cela coule quand même. Je refais les mêmes gestes sur mon autre bras. Je ne sais pas ce qu'il me passe par la tête mais je monte sur ma rambarde et continu de me soûler.
Je me sens bien comme ça, comme soulagée, comme si toutes mes erreurs, ma souffrance partaient avec mon sang.


 

PDV …

Alors que je suis plongée dans ma lecture passionnante, une tache rouge vient s'écraser sur ma page. Mais qu'est-ce qu'il se passe ? À peine ai-je pensé qu'une autre vient s'écraser sur mon livre. Je ferme mon livre et essaye de regarder au-dessus voir ce qu'il se passe.
Je ne vois pas grand-chose pour ne pas dire : rien. J'attends quelques secondes et vois un bras passé avec une bouteille à moitié vide.
Mon cerveau ne met pas longtemps à percuter où se trouve ma voisine. Pris de panique je monte rapidement chez ma voisine.
Quelques secondes plus tard, je suis en train de cogner contre sa porte. Elle ne répond pas. Si cela se trouve elle a déjà sauté. Mon Dieu, j'espère pas, même si je ne la connais pas vraiment je serais ennuyé. J'essaye quand même d'ouvrir la porte, avec ma chance habituelle elle est fermée à clé. J'entreprends de défoncer la porte avec mon épaule. Merci les séances de musculation avec mon adorable frère Emmett, pas contre j'ai trop mal au bras. Je la vois qui me regarde étonnée, moi je ne vois que ses bras en sang et aussi le fait qu'elle est prête à sauter.
« Ma porte… » souffle-t-elle avant de me regarder. « Toi. » dit elle me pointant du doigt mais assez incertaine de la direction de son index.
Elle réfléchit quelques instants.
« Tu es qui ? On s'est déjà vus. »
Elle me fixe toujours essayant de se concentrer. Moi comme une andouille je jette un coup d'œil à son appartement. Vu ce qu'elle a englouti, je me demande comment elle fait pour tenir debout sur la… RAMBARDE ! Non mais tu es trop con ! Réagi ! Andouille ! Je m'approche.
« Tu ne veux pas… … » commençais-je « Non, je t'ai jamais vue ! » dit-elle fière d'elle en secouant ses bras, manquant à moitié de tomber.
« Je suis votre voisin. » dis-je m'approchant de plus en plus d'elle.
« Si vous le dites ! » dit-elle buvant une gorgée.
Beurk. Je n'ai jamais aimé boire, ni faire la fête, je crois même que je ne suis pas une personne drôle mais plutôt ennuyeuse qui aime rester chez soi. Bref, rien pour ne pas être en face de ma voisine qui ne sait plus vraiment ce qu'elle fait. Je me demande dans quelle merde je me suis encore fourré !
« Si tu descendais et qu'on s'asseyait pour discuter. » proposais-je, pas rassuré de la voir sur la rambarde à plus de cent mètres de haut.
« Non. » Dit-elle à moitié dans les vapes mais avec une moue attendrissante. « Je suis bien là, la vue est belle. »
Je n'ai jamais été très patient. Je prends les quelques grammes de calme qu'il me reste et repose la question. Après tout, je ne suis pas en position de force et honnêtement, je flippe carrément.
« Tu ne veux pas descendre avant de faire une bêtise. »

Elle ne me répond pas. Vraiment imbibée.

« Ne m'oblige pas à venir te chercher. » grimaçais-je

La peur me fait m'énerver.

« Quoi ? Tu es flic. Tu peux m'obliger à rien ! » Elle réfléchit un court instant « En fait tu es un gros dégoutant qui veut m'attacher avec des menottes à mon lit ? Laisse tomber on me l'a déjà fait celle-là ! »

Elle se retourne vers le vide avant que je n'ai pu dire quoi que ce soit. Je m'approche prudemment pour ne pas lui faire peur et qu'elle tombe par ma faute. Au moment où je vais attraper son poignet elle ouvre la bouche.
« Tu ne trouves pas que la vue est belle ? » dit elle se retournant vers moi avec un sourire serein.

PDV BELLA

Je me retourne vers lui, il est plus près que je le croyais. Je me demande comment j'ai fait pour passer à côté de cet homme. Il a quelque chose de sauvage, d'indomptable. Comme je les aime sauf qu'ils finissent par se barrer. Mais lui, je vois sur son visage, un truc de différent, j'arrive pas à mettre le doigt dessus, en même temps je déraille, je suis bourrée. Mais je me demande pourquoi je le regarde avec insistance. J'avance mon doigt vers son nez le faisant loucher légèrement.
Surement trop rapidement pour mon cerveau, je me retrouve les pieds au sol, accrochée à une masse beaucoup plus grande que moi, avec deux bras autour de ma taille.

PDV …

Je vois son doigt approcher de mon visage, je la vois se pencher et manquer de se casser à figure mais elle me fixe, concentrée sur sa tâche. J'en profite pour l'attraper, peut-être un peu brutalement, et la coller à moi. Je respire, soulagé. Je nous emmène à l'intérieur et ferme la baie vitrée à clef. Je la traine vers l'évier où je vois un sacré bordel. Elle est pire que moi. Je passe ses poignets sous l'eau, heureusement qu'elle ne s'est pas coupé trop profondément, sinon elle se serait vidé de son sang.
« Tu te demandes pourquoi j'ai fait ça ? » souffle-t-elle
Je ne réponds rien.
« Ça soulage… On se sent libre. Libéré d'un poids. C'est comme si la douleur s'échappait. » dit-elle d'une voix brisée.
Je ne sais pas pourquoi mais je la serre fort dans mes bras. Je suis vraiment bizarre avec elle, une autre personne. Mon pauvre ami tu dérailles. Remarque, il serait temps de t'intéresser aux personnes qui t'entourent. Ma chemise se mouille. Je la sens pleurer. Je l'assieds sur son bar et lui prépare du café froid.

Elle va adorer ! Discrètement je l'observe alors qu'elle reste là, assise, les yeux dans le vide. Pour le peu que j'en ai vu, elle est l'ombre d'elle-même. Je me souviens de ses sourires, de ses gestes, de sa moue quand la personne qui est au bout du téléphone n'est pas d'accord avec elle. Mon Dieu, on dirait un pervers qui la suit vingt-quatre heures sur vingt-quatre ; mais pourtant je ne l'ai vue que cinq ou six fois. J'y peux rien si j'suis observateur.
« Tu veux un scoop ? » me dit-elle sans me regarder « Je HAIS ma vie… Pathétique… Pas vrai ? »

Elle boit encore une gorgée de son poison.

« Je suis un vrai boulet… Sinon ma famille ferait plus attention à moi… » dit-elle recommençant à pleurer.
Je lui enlève sa bouteille et lui donne le café. Elle le boit et l'effet est immédiat. Elle vomit tripe et boyaux.
« Eurk ! »

« Allez chaton, va boire pour te rincer la bouche. » lui dis-je gentiment.
« Chaton ? Tu'es bizarre toi ! Mais j'aime bien. »

Moi aussi je me trouve bizarre. Elle se lève en titubant pour aller dans sa salle de bain. Mais même si mon café froid l'a fait décuver un peu, elle trébuche. J'ai juste le temps de la rattraper avant qu'elle n'embrasse le sol.
Elle est aussi légère qu'une plume.
« Tu devrais manger plus. » « Oui maman ! »
Je ne peux m'empêcher de sourire.
Je vais pour la laisser seule maintenant qu'elle m'a juré de ne pas recommencer mais elle me retient pas le poignet.
« Reste, s'il te plaît. Je ne veux pas être seule… C'est la saint-valentin après tout. » Dit-elle les larmes aux yeux.
Je ne sais pas pour quelle raison mais j'accepte. Que ce soient ses yeux si tristes, ou ses moues à la fois sexy et attendrissantes.
Peu importe les raisons, je m'assois avec elle sur le canapé. Je regarde ses coupures qui ne saignent quasiment plus.
« Merci » souffle-t-elle
On reste en silence et sans bouger. Mais ce calme ne dure pas. Ses petits doigts glissent sur mon torse. Ses lèvres se rapprochent de mon cou.

PDV BELLA

Je suis là, assise sur mon canapé avec un mec, mes bras posés sur son torse et la tête sur son épaule. Mais j'ai un gros problème, quand j'ai bu j'ai souvent chaud, très chaud. Mes doigts glissent sur ce qui semble être ses abdos. Mes lèvres frôlent son cou, il frissonne.
« Mmmmm, tu sens bon. J'ai envie de te croquer. » rigolais-je avant de poser complètement mes lèvres dans son cou.
Alors que j'embrasse toutes les parties que je peux atteindre, mes doigts défont sa chemise. Il ne bouge pas. Tant pis je continue. Une fois ma tâche finie, je m'assoie à califourchon sur lui, je peux sentir son sexe durcir, j'essaye d'appuyer mon clitoris sur lui, il remonte ses hanches contre moi, je gémis doucement et me jette sur ses lèvres pour l'embrasser à pleine bouche.

Nos langues se caressent. Mes lèvres glissent sur ses abdos, je le lèche, lui mordille les tétons, il gémit, ses mains viennent enfin se poser sur mon corps, ses doigts m'électrisent, je descends de plus en plus, me retrouvant entre ses jambes. Je prends un soin particulier avec son nombril. J'ouvre son pantalon, baisse sa braguette, je vais pour sortir son sexe mais il se relève, me poussant pour atterrir sur mon fessier, je le regarde choquée. Il se recule.
« On… On… On ne doit pas… Pas faire ça. » Dit-il assez sérieux.
Moi j'ai les larmes aux yeux, le regardant tristement. Il se recule encore pour partir, mes larmes coulent, sauf que son pantalon fini sur ses chevilles. Je ne peux m'empêcher de le détailler. Mon corps n'en fait qu'à sa tête et s'avance à quatre pattes vers lui.
« Non, on ne doit pas. Tu n'es pas… » dit-il d'une drôle de voix.
« Espèce de… Espèce de... » Je n'ai pas encore décuvé complètement pour avoir des pensées cohérentes, en plus j'ai oublié ce que je voulais dire. « Tu es au courant que tu es vachement sexy . ! »
J'y peux rien, j'ai le feu au cul et mes cuisses commencent à être humides. Je suis maintenant devant lui à quatre pattes et lui, il reste planté la comme un con. Je me relève avec un peu de maladresse, enlève mon string en le faisant glisser le long de mes jambes, d'un coup de pied je lui envoie mon string qui atterrit à un mètre de lui. Je le regarde lui et son érection.
Mes dents s'attaquent à ma lèvre tout en le fixant. Je dégrafe mon soutien-gorge, ses yeux se posent sur ma poitrine. Bordel, viens me toucher. Je vais pour enlever ma jupe mais il est déjà proche de moi.
« Garde-la. » Souffle-t-il à mon oreille avant d'en mordre le lobe.
Ses mains glissent sous la jupe, je gémis, me collant à lui. Ses doigts viennent directement sur mon intimité trempée de désir. Sa bouche vient sur ma poitrine, mes mains une fois qu'elles lui ont enlevé sa chemise (il s'est débarrassé de son pantalon.) fourrage ses cheveux le pressant plus contre moi. Trop occupée par ses doigts sur mon clitoris, je ne me rends pas compte qu'il m'a à moitié allongée sur le canapé. Sa langue a remplacé ses doigts, je gémis de plus en plus, ses mains tiennent fermement mes hanches m'empêchant de bouger. Il passe sa langue sur toutes les parties de mon intimité. Je ne suis pas loin de l'orgasme mais je veux attendre encore.
« La vache. Tu es doué ! » soufflais-je entre deux gémissements.
Je le remonte et l'embrasse goulument, me goutant. J'ai envie de plus, comme s'il lisait dans mes pensées il introduit directement trois doigts en moi. Ses va-et-vient sont rapides. Me trouvant trop inactive, je passe ma main dans son caleçon et prends son sexe dans ma main et fais, moi aussi des va-et-vient. Nos lèvres se retrouvent pour un baiser plein de passion, de désir, d'envie.
Je crois que je n'ai jamais autant aimé une partie de jambe en l'air.
« Prends » Un baiser « Moi… » « À tes ordres. »
Il va pour mettre le préservatif mais je lui prends des mains, il me regarde étonné, je lui mets mais seulement avec ma bouche. J'embrasse son gland avant de le forcer à s'assoir sur le canapé. Il grogne de mécontentement.
« Fais attention, sinon je sors le fouet ! » rigolai-je

« Et moi je vais te mettre une laisse pour te dresser ! » dit-il me tirant vers lui avant de m'embrasser.

Je frotte mon sexe contre le sien sans le laisser me pénétrer. Je joue à ce petit jeu, le faisant languir, il serre la mâchoire. Je l'embrasse délicatement sur les deux joues avant de m'emparer de sa bouche. Je me soulève et m'empale sur lui.

« Mmmm. »

Satisfait lui comme moi nous entamons nos va-et-vient. Je mordille son cou, me retenant de crier mon plaisir. Néanmoins mes gémissements sont de plus en plus forts. Sa respiration est plus bruyante, ce qui m'incite à augmenter à cadence. Je ne fais pas attention à mes bras blessés qui recommencent à saigner doucement. Il me colle à lui, mes tétons durcis frottent son torse, j'aime cette sensation. D'un coup de rein ils nous soulèvent et m'assoie sur la table afin de reprendre ses va-et-vient, je me recule légèrement pour qu'il ait un meilleur accès.
« Oui. Enco… Re… »
À chaque coup, il tape mon poing G. J'enroule encore plus mes jambes autour de ses fesses musclées, ses mains viennent ses sur mes seins les massant durement mais j'aime ça. D'un coup de rein plus profond et plus long, il jouit avant de m'embrasser tendrement, il continue quelques va-et-vient avant que mon corps se cambre de plaisir. Mon orgasme arrive.
Je me laisse tomber sur la table l'entraînant avec moi. J'essuie du bout des doigts la sueur sur son front. J'embrasse même le dessus de son crâne.

PDV …

Je m'allonge sur elle, écoutant son cœur. Ses petits bras viennent autour de mon corps. En principe les mecs n'aiment pas trop les câlins après avoir fait l'amour mais moi je ne peux m'en passer. J'embrasse doucement sa poitrine et mes doigts caressent son ventre.
Après quelques minutes, je décide de me relever.
« Noon. » gémit elle.
Elle prend ma main.
« Je veux continuer mon câlin. » gémit-elle.
Je détaille son beau corps. Pourquoi j'ai tout de suite envie de recommencer à lui faire l'amour. Je l'embrasse tendrement.
« On… » commençais-je mais elle me coupe

« Pourquoi tu m'as aidé ? »

« Honnêtement ? » demandais-je

« Moui. »

« Je ne sais pas. Peut-être la détresse dans tes yeux, la peur, pour pimenter ma vie, ne pas me faire emmerder si jamais tu étais tombé. Pour garder ma vie tranquille. »
Je me doute que ma réponse risque de ne pas lui plaire.
« Merci. » me dit-elle sincèrement.

« Ça fait du bien d'avoir quelqu'un d'honnête près de soi, même si je suis persuadée que l'on ne recommencera pas, aussi géniale fut-elle, notre partie de plaisir. »

Cette fille est unique. Peut-être qu'on ne recommencera pas mais notre relation a changée. On se rhabille en silence. Je vais pour sortir de son appartement.
« Au fait quel est ton nom ? » demandais-je à l'homme avec qui je viens de coucher « Paul. »
Je ferme la porte.
FIN

Date de dernière mise à jour : 08/05/2020

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Commentaires

  • TWICK
    • 1. TWICK Le 26/08/2014
    OS rempli de mystère sur le voisin jusqu'à la fin... Vraiment dommage d'avoir l'info à la présentation de l'histoire....
    L'histoire est fluide et bien écrite... Quelques fautes d'orthographe mais je ne suis pas la mieux placée pour le dire....
    Merci
  • hp-drago
    • 2. hp-drago Le 28/05/2013
    coucou Meggy
    merci pour ton commentaire. J'aime faire changement et j'adore Paul, Jasper aussi mais Paul me plaisait bien
    bisous bisous
  • Meggy
    • 3. Meggy Le 28/05/2013
    Hey! J'ai beaucoup aimé mais je dois avouer que moi je n'ai pas penser ni à paul et encore moins à edward... En fait j'ai pensé à Jasper.
  • Lamina59
    • 4. Lamina59 Le 10/04/2013
    jusqu'a la fin j'étais persuadée que c'était Edward le voisin
    tu as gardé le suspense jusqu'au bout et je suis contente que ce soit Paul et non Edward
    j'adore le couple bella/Paul
    encore merci de nous faire partager ton imagination à travers tes écris
  • Areina James
    • 5. Areina James Le 10/07/2012
    J'ai beaucoup aimé !
    Y a-t-il une chance pour qu'il y ai une suite plus tard ?
    J'imagine bien un Paul victime d'un cambriolage qui irais dormir chez Bella... Ou tout ce que tu veux !
    Bravo en tout cas !

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